“Attention, contenu explicite, destiné aux adultes”
Chers Lecteurs, après vous avoir mis l’eau à la bouche avec cette première partie ou je vous ai laissés sur le pas de la porte de cette fameuse chambre 124, voici la deuxième partie. Nous allons enfin y pénétrer…
La lumière était tamisée, un petit fond de musique Lounge sorti de l’enceinte Bluetooth de la chambre. Je la vis, là, étendue, sur le lit, uniquement vêtue d’une très courte nuisette, noire, transparente, sous laquelle on apercevait toute la beauté de son corps bronzé. Elle portait également un string si fin qu’il ne couvrait décidément pas grand chose de son anatomie. Tout comme sa nuisette au final.
Quand elle m’aperçut dans l’entrée, elle m’accueillit d’un bonsoir si charmeur que sur le coup, je bégayai :
“Euh bonj… Bonsoir madame, vous, euh, avez un problème de… Lumière ? C’est bien ça ?”
Elle me répondit l’air amusé:
“C’est l’impression que je vous donne ?”
Moi, me sentant très con sur le moment, rétorquai :
“C’est clair que non…”
Elle plongea ses yeux dans les miens et se mordit la lèvre sensuellement, ce qui, je dois l’avouer sur le moment, m’a fait perdre le contrôle…
Je m’approchai d’elle et alors que j’allais m’asseoir sur le lit, elle m’en empêcha et m’attrapa par la ceinture, l’enleva et ouvrit mon pantalon. Ce qui, “pardonnez moi l’expression”, me mit une trique à péter en deux un parpaing. Elle s’asseya sur le lit, attrapa ma queue, me regardant tout en se léchant le bord des lèvres et me demanda :
“Tu as envie de me la mettre dans la bouche ?”
Je ne répondit pas et la pris par les cheveux. Elle comprit et commença à me sucer…
J’étais debout à ce moment là. Croyez-moi, ce n’était pas la première pipe de ma vie mais ce fut la plus intense. Elle m’aspira littéralement, j’en avais les jambes qui tremblaient. Puis elle me releva le sexe et me goba les boules. Je ne pu m’empêcher de lâcher un râle de plaisir.
Cette cochonne m’excitait tellement que l’idée de la rendre folle d’excitation m’importait plus que mon propre plaisir. Je la repoussai délicatement à sa grande surprise, et lui défis le seul noeud en tissu qui gardait sa nuisette fermé. Je l’allongeais sur le lit et me mis à explorer ses courbes avec ma langue. Je sentis le désir monter en elle. Je descendis doucement le long de son ventre et lui enleva son string sauvagement.
Elle tortilla son petit bassin sur la couette et écarta les cuisses. Un petit manège érotique s’installa, je la regardai prendre son pied, la léchant comme un chat fait sa toilette, délicatement et langoureusement. Pendant ce temps la, elle me regardait haletante et frémissante, prête à exploser.
Elle explosa et me laissa un goût sucrée en bouche. Là, elle m’attrapa la tête, sans doute pour m’embrasser. J’ai profité de ce moment pour m’infiltrer en elle ce qui fut le début d’un rodéo insensé.
Maintenant quand j’y repense, je l’ai sacrément allumé la coquine ! Elle était d’une flexibilité, je n’avais jamais vu ça. Le lit claquait si fort que le client de la chambre d’à côté tapa contre le mur pour que le bruit cesse. C’était un habitué des lieux, et désolé de le dire un sacré casse couille.
Je me levais et entraînai ma douce créature par le bras, la collai au mur, la main sur la bouche et le rodéo continua de plus belle ! J’avoue qu’à ce moment là, la sensation de savoir que derrière ce mur il y avait un con qui essayait de dormir me rendit encore plus sauvage. Je serrais ses hanches tandis que je redoublai d’intensité. Nos corps étaient recouvert de sueur, elle haletait de plus belle, remuant son petit postérieur ce qui a eu pour effet de faire monter la pression.
Ne sachant pas si elle prenait la pilule je me risquai à lui glisser à l’oreille :
“Ma Belle, je vais bientôt venir…”
Elle tourna la tête, me sourit d’un air coquin, me poussa délicatement et se retourna. Elle se mit à genoux devant moi et resta droite de sorte que ses seins soit au niveau de ma queue et commença à me branler tout en me caressant les boules.
“Va y mon beau, tu peux y aller, lâche-toi, tu l’as bien mérité !”
A peine eut elle finit sa phrase que mon foutre recouvrait sa sublime poitrine. Elle finit le job par une petite pipe très appréciable. Ensuite elle se dirigea vers la salle de bain afin de se rafraîchir.
Et là, comme tout homme qui a les boules vides, ce fut le dur retour à la réalité.
“Putain, il est quelle heure ? Où sont mes fringues ?” Pensai-je sur le coup.
“Ah mes fringues sont là, et mon téléphone aussi.”.
Puis je regardai l’heure.
“Putain, ça fait presque une heure que je suis là, merde, il faut que j’y aille !”
Je me rhabillai à la hâte, mis mes chaussures et allai voir la belle une dernière fois afin de lui faire mes adieux. Elle me remercia gracieusement et me donna un dernier baiser. Je descendis les escaliers de l’hôtel deux à deux et j’atterrissais dans le hall un peu essoufflé. Mon collègue étant occupé avec un client, je passais dans le petit bureau attenant à la réception, pris mes affaires. et j’enfilai mon manteau. Je profitais de l’occasion pour filer, lui faisant un petit signe de main. Il me répondit par un petit sourire de travers.
J’inspirais une grande bouffée d’air frais. Maintenant direction métro. Une fois à la station, je dégringolai les marches jusqu’au quai. Le métro arriva dans la foulée et je montais à l’intérieur. Je vis mon reflet d’en la glace d’en face et je compris le sourire de mon collègue. Mon gel avait quasiment disparu, ma cravate aussi.
“Merde je l’ai laissé dans la chambre!”
“Mouais après tout, ce n’est qu’une cravate”
À peine rentré, je me servis un whisky sec, puis un deuxième pour faire passer le premier. Je pris tout de suite une douche et me brossai les dents. Marie allait rentrer tard ce soir elle était partie faire une soirée série chez sa meilleur amie je lui avais laissé ma voiture pour qu’elle puisse rentrer à l’heure qu’elle voulait.
Je me couchais et lorsqu’elle rentra, je fis mine d’être endormi. Elle me rejoignit quelques instants après, colla son corps chaud contre le mien et s’endormit. Moi il me fallu bien plus de temps, mon cerveau étant complètement absorbé par ses dernières heures tentant d’analyser malgré lui ce qu’il s’était passé.
À suivre…